• admin
• 4 octobre 2024
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Nos commentaires :

« Les mots ont un sens » nous dit M le Maire ?

« Délégation de Service public », par exemple, veut traduire le concept d’un service public dont la gestion est confiée (déléguée) à une entité privée.

Où est la dimension de Service public dans le cas d’un restaurant pratiquant les tarifs que l’on sait et restreignant ses plages d’ouverture ?

C’est cela que nous contestons.
Ce sujet a le mérite de mettre en évidence la différence entre la gauche et la droite sur la notion de service public.

Des débats ? Quels débats ?

Le Progrès parle de débats entre le Maire et l’opposition Rassemblement Citoyen pour Saint-Priest.

Observons un peu : le Maire, comme toujours lorsqu’il est en difficulté, a joué sa tactique de défense habituelle en contre attaquant sur un terrain parallèle et souvent étranger au débat.
A court d’arguments sur la question de service public, il tacle l’ancienne équipe municipale (rappelons que celle-ci a quitté les manettes depuis 10 ans, quand même… le disque est un peu rayé…), et fait mine de l’assimiler au Rassemblement Citoyen actuel ; la plaisanterie ne fait même plus rire ses colistiers.

Et puis, quels débats, lorsque seul le micro du Maire reste en service, lui permettant, de façon très démocratique, de couvrir les réponses de ses contradicteurs ?

Le Château aux San-Priots :

Le titre du Progrès est un raccourci accrocheur, certes, mais pas fidèle à l’esprit ni à la lettre de notre intervention. Nous relevons simplement que le Maire n’a, à ce jour, pas encore tenu sa promesse d’un château pour les San-Priots.
Le seul exemple qu’il a pu proposer de l’ouverture du château à la population : les pots offerts par la municipalité à l’issue des commémorations au Jardin de la Mémoire. Comble de mauvaise foi, le Maire reproche aux élus du Rassemblement Citoyen de ne pas honorer lesdites commémorations. Que le Maire ne salue pas systématiquement les élus d’opposition présents est une chose, qu’il en conclue qu’ils ne sont pas présents en est une autre ; mais peu importe, les san-priots, eux, le savent.